25 mars 2006

Jeux Dehoufs

Et voilà donc l'histoire des jeux dehoufs !

Il faut dire qu'au début, c'était pas gagné ! Elles étaient impeccables, avec leur gabarit d'athlètes, leur poil ras... et elles ont regardé de haut (un peu, seulement) la chose toute chiffonnée que je suis en ce moment...
J'en profite pour lancer un appel public : AU SECOURS ! EPILEZ-MOI !!! J'en ai plus qu'assez ne plus assez manger parce que j'ai, soit disant, l'air bouboule... et de retrouver mes poils tellement partout dans la maison que le Petit Poucet serait rentré chez lui les yeux fermés par une nuit sans lune !

Un rapide coup d'oeil à nos maîtresses,
nous a appris qu'on était là pour un bout de temps, et qu'il valait mieux trouver à s'occuper !

Donc on a papoté,














(petite précision à l'encontre de ceux et celles dont le sens de l'observation se situe en dessous de la ceinture : je suis toujours une femelle ! ... et J'INSISTE TOUJOURS POUR QU'ON M'EPILE !!!) ...

...et il m'a fallu y regarder de près pour vérifier que la fille de La Dinde ne portait pas de nom !!! Imaginez mon soulagement : un moment je m'étais crue myope comme une taupe et obligée de porter les lunettes de ma maîtresse sur la truffe !












Mais alors... à quoi ça sert une médaille ? A faire joli ?? A donner discrètement son numéro de téléphone ???

Quoi qu'il en soit, nous avons commencé nos jeux.
Rien de bien original d'abord... il nous fallait le temps de créer les automatismes d'équipe.
Le temps de s'aligner...











...et on partait pour une bonne course, histoire de s'échauffer en douceur.

Ma maîtresse, qui n'en rate pas une, s'est bien moquée de moi en me voyant dernière et en m'en-
tendant aboyer sans arrêt. Elle me trouvait "bête" de ne pas garder mon souffle. Ahhh l'ignare... Elle ne peut pas comprendre que, quand j'aboie, j'entame déjà la résistance de l'air ? Quant au souffle, il n'y a qu'elle pour en manquer quand elle court...

Mais revenons à cette belle après-midi ludique ! Après la course, autre grand classique : la lutte !
Notre différence de gabarit ne me laissant pas toute la marge de manoeuvre que je souhaitais...
...j'en ai profité pour parfaire mon jeu au sol... surtout à une contre deux !

J'ai ainsi pu mettre au point deux techniques révolutionnaires : le coup du Hamster (il s'agit de battre le plus vite possible des pattes... ne me demandez pas à quoi ça sert... mais ça marche !) et la tactique du pont, où l'on se dégage en passant sous le ventre de l'adversaire.

La prochaine fois, il faudra que je pense à essayer de le renverser, tant que j'y suis !


Et puis, on a corsé les choses !
Tout d'abord avec un petit relais...

















Pas besoin de témoin, un simple regard suffit !








Ensuite, on s'est fait une sacrée partie de cache cache !
Là, je suis découverte... mais il lui en a fallu du temps à la maman, avant de venir me chercher derrière sa fille ! Au passage... vous avez remarqué le naturel de cette dernière ??? Quelle comédienne !
Du coup, c'est moi qui ai du les chercher !

Après on s'est reposées avec une petite partie de "Chiche, tu sautes ?!" Pfff, trop facile ! J'aurais même pu le faire de plus haut, mais elles ont jugé ça trop dangeureux... pfff !


A ce moment de l'après-midi, on était toutes mortes de faim. Du coup, pendant que La Dinde faisait le guet avec son air le plus innocent...












...on s'est fait un maxi festin... en canimini !




Il n'y avait plus qu'à rentrer pour se remettre de tout ce bon temps !

Câlins
à l'une...










Bisous
à l'autre...








et... A BIENTOT !!!


Aïkie, philosopher