P-Réparation au vert

Me revoila sur le Blog après une autre longue absence... et pour une fois, je ne vais pas rejeter la faute sur mes maîtresses : je dois dire que la canicule m'a un peu amortie. Et dire qu'au début de l'été, je me précipitais sur le moindre rayon de soleil !

A la maison, les micro-lilliputiens se sont succédés à un rythme effréné (pour-
raient pas faire dans la qualité, plutôt, ces deux-là?)




et même les jeux les meilleurs ont fini par manquer de saveur.

Et en plus, ma bande de boules n'était pas là ! Il faut dire qu'elles avaient de bonnes raisons puisque La Dinde a pondu huit petits dindonneaux tout beaux ! (pour ceux qui n'auraient pas tout suivi et qui se demanderaient d'où vient mon intérêt pour ce volatile, allez vous rafraîchir la mémoire ici, et baver devant les Dindonneaux là !).


J'ai donc dormi, essayant toutes les positions de mon panier et d'ailleurs,










et j'ai rêvé... de voyages lointains... avec mon sac à dos, ma veste de moto et mon chapeau austra-
lien...

Cela ne vous aura peut-être pas échappé : j'étais un peu raplapla !

Mais tout a commencé à aller mieux quand nous sommes parties à Ville d'Avray, comme l'année dernière. Pas de Némo, Vino et Trinity, c'était bien dommage, mais c'est beaucoup plus agréable d'être raplapla au frais et dans les herbes... qu'à Nanterre !

Du coup, je me suis retrouvée, et j'ai décidé de préparer activement mon voyage chez Véga :
j'ai repris le bronzage au soleil,

















je me suis durement entraînée au concours de grimaces,
















je me suis refait quelques muscles,


j'ai peaufiné mes techniques de chasse (vous avez remarqué l'effet du plus grand chic de la patte avant levée ???),












j'ai appris à ramper comme les chats (pour mieux les effrayer, bien sûr),













et, indispensable à la survie du Border, j'ai mis au point mon air le plus craquant.
Si, si, je vous assure, j'ai testé (pas sur ma maîtresse sans coeur, mais sur sa mère)... et elle a marché !!!


Bref, je suis devenue infatigable et j'attends avec impatience la Grèce où je pourrai montrer à ma Tatie Chérie, tous les jeux que je connais, et en apprendre de nouveaux !

Aïkie, philosopher