19 septembre 2005

Flash back ... sur Carnac

Et nous voici partis à cinq vers Carnac ! Fidèles à nos habitudes, Vargas et moi, nous partageons un bon nombre de choses... comme de raconter nos vacances ! Donc si vous ne vous souvenez plus du billet de Vargas, allez voir Paradisiaque. (les liens de ce post renverront vers les photos de son site.)

C'est vrai que nous avons continué à partager pas mal de choses. La voiture, par exemple, et sa vue imprenable sur le modèle d'à côté ! Vargas me parlait caractéristiques tech-
niques, et moi design et couleur... On a été voir vers l'arrière, aussi... il y avait un spécimen intéressant de l'espèce humaine...
Nous avons partagé aussi son panier durant la route, dans nos moments de repos (en fait... c'était presque tout le temps !).
Pour une fois... ce n'était pas mon panier qui nous a subis ! Vargas a été un vrai gentleman, me rendant la politesse à la première occasion !


Carnac... la Bretagne et ses bretonnes ! Elles nous ont appris quelques danses locales...
et vous voyez qu'on y réussit pas si mal, sous l'oeil attentif de notre professeur particulier. Tout en finesse, tel est le secret !

Carnac... la Bretagne et ses pulls marins ! J'ai eu l'occasion d'en tester un... c'est vrai que c'est chaud ! Mais il n'était pas vraiment à ma taille. Du coup pendant les courses, je n'ai pas arrêté de demander mon gabarit... en vain !

Carnac... ses Alignements façon carte postale ! Et d'ailleurs c'est tout ce que vous en aurez, parce que la maîtresse de Vargas n'a pas voulu prendre le risque qu'il commence à marquer son territoire à chaque menhir ! La confiance règne... comme si Vargas ne savait pas distinguer une vieille pierre d'un monument historique !


Carnac... ce n'était pas le lieu de nos vacances ! En fait, nous étions à Plouharnel, près d'un moulin isolé, en rase campagne - et bordure de mer. Carnac n'est que le nom d'un plan de camping sauvage !


Et qui dit camping dit orga-
nisations. Première leçon : monter sa tente. Voilà le résultat final... mais cela n'a pas été sans mal !

Après deux es-
sais et de multiples retou-
ches, Vargas a enfin pu s'installer (un autre aperçu sur le site de ma Tatie chérie, ici pour le post et là pour la photo !)
Vous noterez une fois de plus l'inorganisation de mes maîtresses : Vargas a de la place DANS la tente alors que moi je suis DEHORS, avec le matériel, et même là, je suis obligée de déborder !

En plus, tout le monde semblait inconscient du danger ! Nous, on s'est bien rendus compte qu'on était en pleine nature, loin de tout, à la merci de tous les prédateurs... Nous avons donc instauré un tour de garde, et, en dépit du sort indigne qui était le mien, je n'ai pas lésiné sur les quarts !

Pour le reste du temps, nous avons repris nos activités ordinaires : balades, courses, batailles, trous de terriers fous, jeux de bout de bois, de pommes de pin, reniflages et léchotages... bref, le dur quotidien de la vie d'un Border !






Aïkie, philosopher